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Pour le délire
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  • [ Ecrire ou dire ce que l'on pense à cette personne est il important? oui, mais peu de personne le font ou détournément pour quelques hommes (homme =>"à vérifier!"). ] J'écris des histoires spontanément sans prise de chou, sympa et merdique associés bien
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10 novembre 2005

Fantaisy - Prophétie de Lumière

I Héros rêve (prémonitions)

            Première image, il perçut …

            Une sirène,

            Une licorne …

            Le jour était au loin. Le paysage montagneux. Une femme était dessinée dans l’azur bleu dégradant dans les teintes d’un levé du soleil, ses cheveux n’étaient que nuages souples, évasifs et nacrés, mais aussi représentaient une cascade principale qui chutait sur plusieurs autres cascades. L’allégorie n’est que douceur de trait.

            Par un intermédiaire 

            L’oiseau de lumière,

            Te transmettra la prophétie,

            Et ..., par rêverie …

            

            Il faisait nuit, la lune n’affichait pas encore minuit. Les étoiles scintillaient. Toute lumière du ciel, éclairait la terre. Au premier plan, des dizaines de cascades ruisselaient et se croisaient, avant de choir sur les rochers et la rivière de la vallée. La végétation était basse mais très vaste. Un édifice blanc était situé au centre, peut-être d’architecture de l’ancien monde ; il fallait franchir des marches hautes pour des géants, afin de rejoindre une pièce carré, mais aux extrémités arrondies, le toit était en forme de prisme triangulaire ; à son sommet, une petite statut symbolique y était construite reflétant une lune fondue dans un soleil. Perché sur une colline, le temple possédait un mystère ; une sphère pure et étincelant. 

            Dans l’alignement ouest du temple,

            Où se reflétera la lune,

            La prophétie d’Hastriaal

            Commencera à Trial ...

            Il voit une seconde image. Dans une forêt déboisée en son centre. Deux individus complices sont devant lui. Le soleil en face, illumine la scène …

            Que les fleurs du soleil

            Indique le réveil,

            Que licorne oubliée,

            Devenu cheval ailé,

            Aidera l’Elu…

            Un cheval divin, vole près d’une femme ailée, elle lui tend la main, et effleure ses naseaux. Aucun sentiment de peur ; ce n’est que l’osmose entre deux êtres à part entière. Leurs ailes évasées …

            Reine des elfes

            Que cette femme

            Redécouvre

            Son âme et,

            Son amour

            De toujours …

L’amour que porte l’un pour l’autre n’est plus que l’apparence d’un simple cheval et d’une sobre femme …

            Leur alliance

            Sera

            La délivrance

            D’Ava …

            …Une sirène

            Une licorne.

Le jeune homme sursauta, et s’éveilla devant une figure humaine qui se rapprochait de lui. Il ne voyait que du trouble. Puis il comprit que cette figure, n’était que sa sœur qui essayait de le réveiller de force.

            - Gabe, réveille-toi, je t’entends parler depuis tout à l’heure ! Tu as fais un cauchemar petit frère ?

            - Non, je rêvais de quelque chose que je ne comprends pas ! Ai- je beaucoup parlé Akito ? demanda t- il.

            - Heu …

Elle se déplaça, en virevoltant, sa robe flottait, d’une couleur chaude, Akito était l’une des plus belle fille du canton. Elle prit un stylo et écrivit les paroles de son frère pendant son sommeil. Il se mit à lire.

            - la prophétie d’Hastriaal ? Jamais entendu parlé. Ava ? Non plus !

            Il se levait, faisait sa toilette avec de l’eau tiède qui se refroidissait beaucoup trop vite à son goût. Il sortit dans sa chambre, habillé, à peu près propre, et s’ingurgita le délicieux petit repas préparé avec soin par sa sœur. Akito l’observa comme tous les matins, et attendit qu’il finisse de manger, pour pouvoir en consommer les restes. Il se leva, prit sa petite sacoche, y inséra le bout de papier, et partit à son lieu de travail : la bibliothèque. Sa sœur le guettait à la porte comme tous les jour, soupira, manga, nettoya la maison, comme tous les jours, sans remerciement. L’homme marchait sur un trottoir étroit. Les elfes prenaient la route et les humains les trottoirs plus ou moins larges. Ils se croyaient tout permis, laissant derrière leurs passages de la poussière d’elfes, se qui pouvait avoir quelques conséquences pour les poumons des nains,  des leprechaun’s et autres lutins.

            Les maisons avoisinantes, aux arches circulaires, aux colonnes droites, justes et pures, la lumière s’y dégageait. 

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